Apocalypse (10/2004)
En cette belle fin d’été, ils sont arrivés
Un bouquet à la main, ce beau jour de rentrée.
Ils n’ont pas compris, et se sont allongés
Le nez cloué au sol, des heures sont restés.
Collés les uns aux autres, sans pouvoir bouger
La chaleur étouffante ils ont du supporter.
Prisonniers de ces hommes, de leur férocité
Partis sans comprendre quand tout a explosé.
Dans ce coin du Caucase, la vie s’est arrêtée
victimes innocentes de cette atrocité
Un bouquet à la main, ils étaient arrivés
Gisèle